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De la cité Rocca à Yachech

Le Robinson
 

 

 En face de l'immeuble Le Décor et de l'autre côté de la rue de Tildi, se trouvaient des bâtiments des Services municipaux.

 

Il y avait le Dépôt municipal, la Fourrière pour les animaux et les vélos, la Caserne des Pompiers avec quelques habitations et la Prison des Femmes.

Le chef des Travaux municipaux était un certain M. Vigouroux qui logeait sur place.

 

Le chef des pompiers titulaires était le fils de Marcel Soler.
Quand cela s'avérait nécessaire, on faisait appel à des volontaires. Le chef des sapeurs-pompiers volontaires était Marcel Soler. La plupart des sapeurs-pompiers volontaires étaient des chiffonniers dépendant du dépôtoir européen de Yachech qu'on appelait "Zebala y Roumine" équipé d'un four incinérateur en petites briques pleines rouges.


Dans ce parc qui était plus long que large, se trouvait le Garage de la Province ou du Territoire.


 






À côté de l'immeuble Gisselback et du même côté de la rue de Tildi, Paquet-Afrique disposait dans les années 50 d'un hangar voûté pour le stockage des pains de sucre (avant celui de la rue Jules-Cambon) et d'une maison de fonction occupée par un couple européen qui avait un fils prénommé Jeannot qui jouait au ballon avec les enfants de son âge (souvenirs de Lahsen Roussafi).

 

 

 

Cet hangar avait été construit par l'entrepreneur Rocca qui y avait établi son usine de carreaux de ciment à la fin des années 20.

 entrepreneur Rocca

 

 

 Devant ce hangar, au bord de la route de Tildi se trouvaient la maison Padiou (1933) et celle d'un européen, conducteur de camion CTM marié à une belle marocaine, Mina Tanjaouya.

 
 
 


Il y avait ensuite en face de chez Padiou, un très ancien cimetière dont on ignore à peu près tout si ce n'est qu'il datait de plusieurs siècles, du temps même des Portugais selon la légende. C'est la raison pour laquelle cet endroit n'était pas construit.

À partir des années 40, le caïd Mohamed Aziki occupa temporairement jusqu'en 1956 le terrain mitoyen aux Services municipaux pour ravitailler tout le monde en bois et charbon (au début pour les camions gazogène et taxis).
Un officier du nom de Touma prit le relais qui par la suite devint patron d'une entreprise d'étanchéité.