Présentation de l'avenue Jules Cambon

 Rive droite

 Rive gauche

 Abonnés au téléphone en 1958

 Après séisme

 

Rive droite de l'avenue Cambon


 

Après un long terrain vague, l'avenue Cambon, assez large s'ouvrait par la Station-Service d'Akhannouch (ESSO en 1958-9) puis se poursuivait au niveau de la rue de Taraboulous par des bâtiments mitoyens comprenant :

  • Un joli petit immeuble blanc avec auvent en tuiles rondes vernissées, d'un étage dont les fers attendaient un étage supplémentaire. Se trouvaient dans cet immeuble : le siège et les bureaux la Compagnie "Aït Souss" (Alimentation) gérée par Ahmed Akhannouch, Abbès Kabbage et Houmad Ou Lyazid. Cet immeuble devint par la suite celui de la fabrique de pâtes alimentaires "La Kasbah" dite "Kasbah-Vermicelle" dont le patron était Hadj Ali Taleb,

 Ahmed Akhnouch

Abbès Kabbage 

Houmad Ou Lyazid 

  • Le bureau de l'assureur Marrache,
  • L'entrepôt de La Brasserie "La Cigogne", Judor et Stork, directeur M. Manjoulet,
  • Le garage "MAGHREB AUTO", vente achat voitures de tous véhicules, concessionnaire de General Motors de Houmad ou Lyazid,

Houmad Ou Lyazid 

 

  • L'entreprise de construction de Brahim Arsalane, Houmad Ou Lyazid et Abdelkader Massi (gérant de la Station Service CIMAR angle rue Jacques Cartier et boulevard Mohamed V),
  • La menuiserie-ébénisterie de Max Ben Ouaïch.

Brahim Arsalane

Après un petit terrain vague, apparaissait une série d'immeubles mitoyens, pour certains de un à deux étages, tout en longueur avec des habitations à l'étage :

  • COMAMETO (Quincaillerie en gros),
  • Immeuble Paul Deux,
  • Immeuble Puccini où résidait au 22 de l'avenue Jules Cambon, la famille Alhinc.

Après un terrain vague :

  • Le GARAGE Industriel Automobile du SOUSS de Ali et Lahoucine Achengli (mitoyen de Filippone actuel) mécanique générale, électricité, pièces détachées, installations de tous moteurs et pompes industrielles, concessionnaire Volkswagen,

 

Lahoucine Achengli 

  • Établissement Paul Bonnard : vente de moteurs Baudoin,

  • Le GARAGE dit "Clinique de l'Automobile" de M. Pérez,
  • L'immeuble bas LEVTCHENKO où se trouvait l'appartement de la famille Levtchenko,
  • Le Bar-Presse "L'ESCALE" de M. Gholf (Café "L'Escale" après 1960),
  • Le GARAGE "NUIT ET JOUR" (géré par M. Ménéchez), portant l'effigie d'un cheval ailé, mécanique-tôlerie peinture, réglage de suspensions, qui, un jour ou une nuit, brûla entièrement. La carrosserie peinture du garage Nuit et Jour était tenue par M. Sivilotto,

 

  • La PHARMACIE de FRANCE (tenue par le pharmacien Maurice Grand),

 
 

  • L'Entreprise COLDEX face à la rue Poincaré,

Après un nouveau terrain vague se trouvaient :

  • La Station-Service Mobiloil Nejmaa Maghrebia de Sala,
  • Les Établissements Hubert DOLBEAU & Fils (Tous matériaux de construction, Amiante Ciment Dimatit, Fibro-Ciments, spécialiste des seguias en tranchées ou sur berceaux, joints, Fer et Métaux. En 1949, cet établissement se trouvait rue de Tildi. En 1955, le directeur était M. Marnas.

 

 

  • La Sté "Capital-Travail" de Max Assidon et de Joseph Ballato se constituera sur l'emplacement des établissements Dolbeau en 1959,
  • Le BAR "LE CAMBON", bureau de tabacs et journaux,
  • L'entreprise de construction MACOBA (Marocaine de Constructions et de Bâtiments, entreprise de travaux publics et particuliers),

  • L'HÔTEL 5 PARTIES DU MONDE, qui à l'époque était un petit établissement avec un étage disposant de quelques chambres et de petits bungalows.

Après un grand terrain vague se succédaient :

  • La Menuiserie-Ébénisterie de Georges LUPOVICI,

  • La maison du photographe Henri PASCAL dont le Studio du Souss était installé avenue Lucien Saint. La maison était située légèrement en retrait de l'avenue,
  • Le Cabinet d'Assurances BOURDREL,