Il était parmi les plus doués
des jeunes villageois qui s'adonnaient à la photographie.
Orphelin de père, sa mère était ménagère
chez des Européens.
Celle-ci lui avait trouvé une occupation ou un travail
chez un photographe à Talborjt ; probablement au Studio
Photaga de la rue du Pacha.
Lahoucine avait réalisé ce chef-d'uvre et
tous les adolescents d'Ihchach rêvaient de faire une photo
souvenir de cette sorte.
Après le séisme, on le perdit
de vue ; il fut certainement parmi les victimes.