Le quartier avait été construit sur un plateau,
constitué par une série de couches redressées
où alternaient grès, marnes et calcaires et recouverts
au quaternaire.
Quelques maisons restèrent debout : elles longeaient
la rue principale qui suivait l'arête de Talborjt, déterminée
par une barre calcaire orientée sensiblement SW-NE (Choubert
et Faure-Muret, 54) et bordée par des marnes.
Sur ces marnes, la destruction fut quasi totale (Choubert
et Faure Muret, 54). Les terrains hétérogènes
sur lesquels s'appuyaient les fondations, constituèrent
un facteur aggravant lors du séisme (Rothé, 17).
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