Boulevard Steeg

 Evolution

 Après séisme

 

 

 

Evolution

 

 

 
Le boulevard Steeg apparaît sur les photos des années 30 comme un large ruban, piste qui s'écarte progressivement de l'avenue Lucien Saint pour joindre la partie Nord Est du fer à cheval vers le camp de la Légion et la Régie de Tabacs.
En dehors des villas anciennes des rues de Londres et de Paris sur la rive gauche du boulevard, celui-ci était alors complètement dépourvu d'habitations et ne traversait que des terrains vagues.

 
 En 1947, sur une vue générale de la BAN, le boulevard apparaît asphalté planté de poteaux téléphoniques et de quelques misérables ficus de part et d'autre de la rue.

 


Seules constructions : la Station Service à l'angle de l'avenue Lucien Saint, le Central garage sur le boulevard Delcassé et l'immeuble Ruault qui n'est pas surélevé.

Au début des années 50, le boulevard se dotera de quelques immeubles et longera les immeubles et établissements suivants au milieu de terrains vagues :

  • la Station service SMPP à l'angle du Bd Steeg et du bd Moulay Hassan :
  • l'immeuble de la Jeunesse et des Sports
  • l'immeuble Fandeux
  • le Temple Protestant

Le boulevard Steeg longeait les villas de la rue de Londres et de la rue de Paris

  • l'hôtel Lutetia
  • Villa Godefroy
  • le Tribunal de Paix

Le boulevard Steeg remontait vers le ravin de Tanout en longeant des terrains vagues et quelques petits immeubles de un ou deux étages entourés d'un enclos sur sa rive droite.

  • l'Immeuble Ruault ou Bertin
  • Central Garage
  • Terrain Bertin
  • l'immeuble Alabert
     

 
Parmi les habitants et commerçants du boulevard :

 
 

 

 

  • André Boutet (1960) qui tenait le magasin "Sud-Expansion" de la rue Charcot
  • Établissement Domec B., bd Steeg (1960)
  • Agence DKW (Pierre Lanoue, annuaire 1960)
  • Georges Olard, architecte (1960).