En 1923, Charles
Taillandier (7 février 1866-1939), son épouse
Marie (née Muron le 21 octobre 1876) et leur fils
Georges (né en juillet1905) arrivèrent à
Agadir pour rejoindre leur fille, épouse de l'infirmier
bien connu Pierre Édouard Pradel.
La devise de Charles
était :
Fuis les méchants
Crains les faibles
Ne hais personne
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Elle fut inscrite
sur le marbre de sa tombe à Ihchach en 1939.
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Leur
fils Georges Taillandier, s'installa sur le front de mer
et créera "Agadir Motos".
Il sera autorisé à installer une pompe à
essence à partir du 20 septembre 1934 devant son magasin
de vente sur le boulevard Bourguignon jusqu'au 1er semestre 1938.
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"L'immeuble Taillandier"
sans que l'on en sache plus sur l'activité de cet immeuble,
employait 2 Européens et 3 Indigènes. S'agissait-il
du garage Agadir-motos ?
Quand Amy Jolly écrit à Marlène Dietrich,
elle donne cette adresse : "Agadir Maison Taillandier"
comme s'il s'agissait d'une pension de famille.
Les courriers sont adressés à Mme Marie Taillandier
et non à G. Taillandier par les autorités chargées
de faire évacuer la rive Sud du boulevard.
Peu avant l'évacuation
de cette rive Sud en juillet 1938, Georges Taillandier avait
déjà créé le Central garage, agence
Renault en Ville nouvelle sur le boulevard Delcassé
en association avec M. Gontard.
Il fut autorisé à installer un réservoir
de 3000 litres et un distributeur automatique devant son immeuble,
boulevard Delcassé au quartier du fer à cheval
(dahir N° 221 du 21 Juillet 1934).